mardi 23 octobre 2007

CARL le robot de la famille Robinson

Dans le film "Bienvenue chez les Robinsons" de Disney sortie le 17 octobre dernier et au cinéma Jean-Gabin fin novembre 2007 ( voir programme du cinéma ) il ya CARL, l’aimable robot serviteur de la famille Robinson.
Le film est l'histoire de LEWIS, un orphelin surdoué de 12 ans et un inventeur aussi passionné qu’excentrique. A cause des résultats souvent désastreux de ses expériences, personne ne veut l’adopter. Pour trouver sa mère, il invente le Scanner de Mémoire, une machine qui doit lui permettre d’explorer le seul souvenir qu’il ait d’elle… Mais malheureusement son invention est saboté par l'ignoble Homme au chapeau melon. Lewis a presque perdu espoir lorsqu'un mystérieux garçon appelé Wilbur Robinson l'entraîne dans sa machine à explorer le temps... Les voilà lancés dans le futur, où Lewis découvre l'excentrique famille de Wilbur. Dans ce monde futuriste et délirant ( trop délirant, c'est le passage du film ou on nous en mais plein les yeux et les oreilles, domage!), ils vont devoir retrouver l'Homme au chapeau melon, sauver le futur et découvrir le fantastique secret du destin de la famille Robinson. Avec l'aide d'un mystérieux garçon venu du futur, Wilbur Robinson, le jeune Lewis va voyager dans le temps et découvrir le fantastique secret de la famille Robinson. Le film est une bonne surprise sur un scénario ambitieux de Disney !
La place de CARL le robot dans cette histoire n'est pas de nous mettre en garde face aux la technologies et à ses mauvaises utilisations, comme dans toutes bonnes oeuvres de science-fiction( c'est une autre création indirect de lewis qui se chargera de cela !). L'activité principale de CARL est de sortir Wilbur du pétrin . Carl est aussi un grand tombeur de… machines en tous genres : lave-vaisselle, cafetières et théières ont toutes un faible pour lui.

lundi 22 octobre 2007

Retour sur l'animation du 26 septembre 2007


Mercredi 26 septembre 2007 à 10h nous avons proposer une animation sur la musique électronique du film PLANÈTE INTERDITE. Une soixantaine de spectateurs étaient présent pour cette matinée.
Composée par Louis et Bebe Barron, c'est la première bande-son électronique d’un long métrage de cinéma. Contactés par Gilds Schary, président de La MGM, Louis et Bebe Barron composent, en 1956, grâce au couplage d'oscillateurs, la bande son et les effets sonores. Pour la première fois, en raison de la large diffusion du film, ces nouveaux sons électroniques arrivent enfin à toucher le grand public.
Au cour de cette animation nous avons eu la chance d'avoir ( sur la ville ) et présent dans la salle de cinéma, ROBOT95, créateur de son électro. Il nous a fait le plaisir et l'amitié de nous faire entendre quelques sons électroniques et partager une petite sélection de musique électro ( voir ELECTRO-MUSIC sur la droite de ce blog )
L'idée de cette animation était de resentir, à travers la répétitivité de cette musique ( alors même que l’action du film n’était pas répétitive ) la volonté de faire disparaître la musique de l’écran et de la plaquer comme un fond sonore. A travers des extraits de la bande son du film, nous avons essayé d'imaginer des paysages et des actions. Grâce à ROBOT95 et la projection d'image ( bandes annonces de film avec des Robots loué au distributeur Madadayo films ) il à été improvisé une rencontre son et images en mouvement, créé en direct. L'après midi a été consacré à la projection du film.
Pour l'ensemble de la programmation du mois de septembre sur les Robots, c'est environ 250 spectateurs qui à pris le chemin de la salle de cinéma pour découvrir les visages de notre frère de métal !!
Pour en savoir plus sur les autres animations sur les Robots cliquer ici.


Merci à Madadayo films, TIBO le ROBOT95, corinne la Luna, Bertrand de l'UFFEJ, Michael et Alex à la projection et hicham et Stania à la caisse.
ET un grand merci à Elliott ainsi qu'à Florian et Cedric Pinsard pour leurs dessins ( prochainement sur ce blog )

samedi 20 octobre 2007

Tim Burton et les Robots

Dans le recueil de petit poèmes LA TRISTE FIN DU PETIT ENFANT HUITRE ET AUTRES HISTOIRES, racontant la vie d'enfant diformes et marginaux, Tim Burton nous conte l'histoire tragique de l'enfant robot ( robot boy ), né d'une humaine et d'un instrument de cuisine !

"(...) A la place, une mince couche de fer froid, le pauvre fils !
De la tête lui sortaient des tubes et des fils.
Les yeux fixes, il restait là, inactif,
ni mort ni vif
. (...)"


Dans la serie animé Stainboy, Tim Burton nous fait découvrir un autre type de Robot. Stainboy, le heros de cette histoire, doit sauver l'électricité, énergie impératrice de tous les foyers de ses concitoyens, mais se heurte à la mauvaise volonté des appareils ménagers...à moins que ses appareils ne soient devenus UN robot !!! une histoire à voir en version originale en cliquant ici : Stainboy : Robot Boy

mardi 18 septembre 2007

Les lois de la robotique

Le romancier Isaac Asimov a bâti une partie de son oeuvre sur les robots. L'idée maîtresse de ses nombreux romans tranche avec ce qui se concevait habituellement en matière de robots : ceux-ci ne nuisent pas systématiquement à leur créateur.
Il publie dans le pulp Super Science Stories, dès 1940, une nouvelle intitulée Robbie qui sera à l'origine d'un cycle de récits oùl'homme n'a plus à craindre les robots, devenus de vrais serviteurs. Il ira même jusqu'à dicter les trois lois de la robotique, qui servent encore de base à la majorité des robots traitant du sujet.
Voici ces trois lois :
- première loi : un robot ne peut nuire à un être humain ni laisser sans assistance un être humain en danger.
- deuxième loi : un robot doit obéir aux ordres qui lui sont donnés par les êtres humains, sauf quand ces ordres sont incompatibles avec la première loi.
- troisième loi : un robot doit protéger sa propre existence tant que cette protection n'est pas incompatible avec la première ou la deuxième loi.

Isaac Asimov est l’auteur qui a inspiré le film I, Robot



Et aussi l'HOMME BICENTENAIRE de Chris Columbus

La Bande Son de PLANETE INTERDITE

ANIMATION MERCREDI 26 SEPTEMBRE A 10H
Planète interdite se démarque de son époque (1956) par une partition musicale entièrement électronique. Composée par Louis et Bebe Barron, elle est la première bande-son électronique d’un long métrage de cinéma. A travers la répétitivité de cette musique, alors même que l’action du film n’est pas répétitive, se dessine en creux une volonté paradoxale de « retirer » la musique de l’écran, de la plaquer comme un fond sonore.


En 1949 à New-York, Louis et Bebe Barron créent leur propre petit studio afin de se consacrer aux expérimentations électroniques. Les époux Barron sont très influencés par Norbert Weiner et son travail sur la cybernétique, l'étude des mécanismes de communication et de contrôle chez les animaux, chez les hommes et dans les machines. En 1951-52, ils réalisent leur toute première oeuvre : "Heavenly Menagerie", puis créent les bandes sonores de deux courts métrages de Ian Hugo "Bells of Atlantis" en 1952 et "Jazz Of Lights" en 1954.

En 1952 et 1953, John Cage travaille dans le studio et avec l'aide du couple Barron, il prépare "William mix", son premier travail sur bande, véritable mozaïque sonore. Seront également conviés à la composition de l'oeuvre : son ami architecte Paul Williams et les membres de la "New York School" : David Tudor, Morton Feldman, Christian Wolff et Earl Brown. John Cage découpe les bandes composées d'une centaine de sons pré-enregistrés de la collection des Barron (600 disques), et les recolle ensuite de manière aléatoire (tirage au sort, et consultation du I-Ching). Pour John Cage, le hasard permet de réinsérer la musique dans la vie "l'art c'est la vie".
Contactés par Gilds Schary, président de La MGM, Louis et Bebe Barron composent, en 1956, grâce au couplage d'oscillateurs, la bande son et les effets sonores du film fantastique : Planéte Interdite (Forbidden Planet). Pour la première fois, en raison de la large diffusion du film, ces nouveaux sons électroniques arrivent enfin à toucher le grand public.(...)

La musique fournit là un décor unique et permanent. On peut parler d’une musique de bruitage ambiant la MGM crédita d’ailleurs les créateurs sonores sous l’intitulé « electronic tonalities ». Composée en seulement trois mois, elle décrit parfaitement les émotions de Robby le robot, les effets spéciaux (pistolets à laser ou canons à neutrons), le mouvement du vaisseau spatial ou les ambiance des différents lieux de la planète ; elle crée et développe le mystère, l'excitation, l'espoir, la fascination, la peur... Avec ce film, la musique électronique rencontre la culture populaire et impact est considérable sur le développement de la musique électronique
, même si il est vrai que l'électronique semble cantonné à l'illustration, aux bruitages des robots ou autres soucoupes volantes ! En 1962, les Barrons fonderont la "Society for Electro Acoustic Music" à Los Angeles. ( plus d'info sur le couple Barron )


- Salutation à Bertrand de l'UFFEJ pour son animation sonore sur PLANETE INTERDITE (cf texte ci-dessus)
- Grand remerciment à Tibo le ROBOT
-merci à MADADAYO Films
- http://sonhors.free.fr pour les textes complementaires.
-Plein d'image des premieres instruments de musique électronique sur http://www.digischool.nl

-Une petite histoire de la musique électronique sur WIKIPEDIA

lundi 17 septembre 2007

Retour sur les animations en salle de cinéma

Mercredi 12 SEPTEMBRE 2007

Plus d'une centaines de spectateurs pour les deux animations du mercredi 12 Septembre.

Au cours des animations du matin 10h et celle de l'après midi 14h, nous avons déterminé avec les spectateurs un "portrait de notre Robot".
Celui ci ressemble étrangement à l'homme; un Corp, une tête, deux bras, deux jambes, ... c'est la définition de se que nous appelons un Androïde.
Il est fait de métal il est donc différents des cyborgs qui sont eux des créatures faite de parties organiques et artificielles ( « organisme cybernétique » ou « homme bionique » ( exemple de la série l'homme qui valait 3 milliard ou des Cyborg dans le film Gost In The Shell ).
Il peut rouiller.
Il mange de l'huile, de l'essence et/ou de l'électricité !
Sans intervention direct de l'homme ( à la différence des robots de la série Goldorak ou du robot du film de Paul Grimault Le Roi et l'Oiseau ), il peut s'adapter à son environnement. Ce n'est donc pas qu'un automate qui est lui seulement un dispositif se comportant de manière automatique, figé, dont le système mécanique, électrique ou électronique, fera toujours la même chose.





Prochain rendez vous, le 26 septembre avec deux animations spéciale à propos du film PLANÈTE INTERDITE et de sa bande son électronique ! 10h (gratuit) et 14h (3 euros) au cinéma Jean-Gabin

Plus d'info sur les robots sur WIKIPEDIA

jeudi 13 septembre 2007

Metropolis de Rintaro au cinéma Jean-Gabin

Metropolis de Rintaro en version française le samedi 29 septembre à 14h et le mardi 2 octobre à 20h30 Tarif 3 euros
Metropolis

Metropolis est une mégalopole futuriste où les humains cohabitent avec les robots. Le gigantesque gratte-ciel Ziggurat abrite l'élite despotique de la société, tandis que les pauvres et les robots sont condamnés à une vie souterraine misérable.

Alors que des complots sont mis à jour, visant à défaire la dictature en place, le détective Shunsaku Ban et son assistant Kenichi se lancent à la recherche du docteur Laughton, un scientifique rebelle, pour s'approprier sa dernière création. Ce dernier est en effet à l'origine de Tima, une merveilleuse fillette qui est aussi un androïde d'un nouveau genre. Celle-ci est destinée à trôner au sommet de Ziggurat.

Mais Tima sera bien plus que l'élue : le premier robot avec une âme.


Le film de Rintaro offre souvent des parallèles avec le Metropolis de Fritz Lang. Même ambition visuelle, même cadrages ayant la volonté d'embrasser le tout au risque de se perdre dans le fourmillement de détails, comme l'homme se dissous dans une société tentaculaire qui l'absorbe, même volonté d'utiliser les différentes techniques de son époque.

Les images numériques de la cité juxtaposant des images 2D dans le plus pure style de Tezuka : le résultat peu paraître dans les premières minutes incongru. Tout est balayé tant le pessimisme du propos, allié à un scénario habile, rend la vision du film intelligente et ambitieuse.

La plupart des grands thèmes propres au manga japonais et à la science-fiction en général sont abordés : peur du conflit nucléaire, lutte des classes de la société, méfiance envers la technologie et son utilisation. Le scénario mêle habilement le tout, des destins se croisent, se rencontrent se séparent. Metropolis est foncièrement pessimiste mais c'est dans la douleur que, paraît-il, renaît l'espoir!

premier visage de robot au cinéma


METROPOLIS
-1927, Fritz Lang, Allemagne, 1h57.Noir et Blanc. Muet.
Durées : 4189 m en version d'origine, 3170 m en version actuelle (1h57)
Autres durées : 1h33 (version allemande video) / 3h30 (version réalisateur à la première) / 2h33 (version originale) / 2h30 (version restaurée du Filmmuseum de Munich) / 1h55 (version restaurée - Allemagne de l'Est)-




Metropolis, la cité de l'avenir est gouvernée d'une main despotique par Joh Fredersen. La ville est divisée en deux secteurs : la partie haute, la ville des maîtres entourée de magnifiques jardins verdoyants, lieu de résidence d'une minorité de privilégiés et la partie basse, la grouillante et crasseuse ville des travailleurs, où survivent des ouvriers qui assurent le fonctionnement de la cité rivés à des machines avilisantes.

Un jour, Freder, le fils de Fredersen, va rencontrer Maria, esclave de la ville basse qui prêche la bonne parole aux travailleurs. Avec elle, il va découvrir les bas quartiers et la misère. Bouleversé, il va essayer de défendre la cause des travailleurs auprès de son père sans grand succès.

Fredersen décide alors de créer, avec l'aide de Rotwang, un robot à l'image de la jeune fille, qui sèmera la terreur dans la ville. Mais, grâce à Maria et à Freder, la ville entière sera réconciliée. Fredersen sera transformé par cet événement.

mardi 11 septembre 2007

robot pub


Une voiture devient un robot qui devient danseur. Chorégraphié puis Animé dans les studios PIXAR sur une musique des "Rythmes Digital" ! Cette PUB a été un déclencheur de la mise en réalisation du film TRANSFORMERS sortie cet été sur les écrans.

La parodie :

L’Homme de Fer Blanc


Peut-on vraiment parler d’un robot lorsqu’on évoque l’homme en Fer Blanc dans le roman Le Magicien d'Oz (The Wonderful Wizard of Oz) qui est un roman pour enfants écrit en 1900 par L. Frank Baum ? Probablement si on considère qu’il est une métaphore des ouvriers et que sa quête d’un coeur préfigure le thème de science-fiction des sentiments chez le robot et donc de sa place parmi l’Humanité.

Pour en savoir plus sur la place des robots dans notre quotidien, lire le (long) article sur le site du journal LE MONDE Les robots auront-ils des droits ?

lundi 10 septembre 2007

PLANETE INTERDITE


De Wilcox, Fred M. (US 1956, COUL, 98', 35mm )
Au XXIIe siècle, le vaisseau spatial C 57 D se pose sur la lointaine planète Altair 4. Une expédition dirigée par le commandant Adams vient enquêter sur la disparition,vingt années plus tôt, du navire spatial Bellérophon et de son équipage. Les explorateurs sont accueillis par Robby, un robot ultra perfectionné qui les conduit jusqu'à la formidable demeure de l'énigmatique Docteur Morbius. Celui-ci, avec sa(charmante) fille Altaira est le seul survivant de l'expédition précédente qui a été décimée par une force inconnue...

Premier film de science-fiction tourné en couleur et en cinémascope dont
le scénario est assez ambitieux puisqu’il s’agissait d’une transposition de
« La Tempête » (1611) de William Shakespeare. Le rythme flottant de « Planète interdite » doit beaucoup à sa bande originale ( comme ne l'indique pas sa bande annonce!!) qui a pour singularité d’être la première à être entièrement composée de musique synthétique (voir article spécifique ). Le tout donne à ce film une place importante dans l’histoire de la Science Fiction. Autre élément important : la figure du robot,Robby. Sa représentation est celle d’une machine docile et serviable proche de l’idée des premiers créateurs du genre et fidèle aux lois de la robotique inventées par l’auteur Isaac Asimov (voir article spécifique ). Un film clé dans l’image du robot au cinéma qui inspira la création des petits personnages de métal de la guerre des étoiles entre autre.

Planete interdite (bande annonce V.O)
SAMEDI 15 à 14h, DIMANCHE 16 à 16H, LUNDI 18 à 20H30, DIMANCHE 23 à 14H et MERCREDI 26 à 14h ( précedé d'une animation gratuite à 10h sur le film et sa la musique sythétique )

kraftwerk - we are the robots


kraftwerk - we are the robots
envoyé par popefucker

ROBOTS


Rodney est un jeune robot plein d'idées, mais sa ville est trop petite pour ses rêves. Il décide de partir à Robot Ville rencontrer Bigweld, le plus génial inventeur et bienfaiteur de tous les robots, pour lui proposer ses services. Mais de nombreuses surprises l'attendent...
D'une ébouriffante richesse visuelle, le deuxième film d'animation des créateurs de « L'Age de glace », a été d’abord la création de cette société entièrement peuplée de robots qui est le coeur du film, le postulat de départ, qui a séduit les scénaristes. Ici les robots ressemblent à des humains (anthropomorphisme). Imaginez alors que « Le Magicien d'Oz » rencontre le
« Metropolis » de Fritz Lang, Buster Keaton et Chaplin. L'aventure de Rodney, petit robot qui part à l'assaut de ses rêves et de la grande ville, devient donc un voyage émouvant et drôle, amplifié par la beauté de ce monde numérique. Une fable sur la nécessité de réaliser ses rêves d'enfant et contre la dictature de la consommation, où l'uniformisation et l'exclusion sont taillés en pièce sans mièvrerie. Le réalisateur raconte qu’ « Il fallait d'abord définir un cadre, et j'ai pensé qu'un monde mécanique serait propice à mon imagination. Les robots ont inspiré quantité de films, principalement de science-fiction, mais avec William Joyce, le célèbre auteur et illustrateur de livres pour enfants avec qui j'ai eu l'idée de faire le film, nous souhaitions créer quelque chose : un monde de fantaisie, haut en couleur, peuplé de personnages mécaniques.
Ce serait donc purement artificiel, créé pour la circonstance. »

ANIMATION MERCREDI 12 à 14H, TARIF UNIQUE 3 euros

dimanche 9 septembre 2007

Le GEANT DE FER


« Le géant de fer » relate la touchante amitié d'un petit garçon et d'un robot géant venu d'une planète inconnue. Bien sûr toute la ville, puis bientôt le gouvernement et l'armée américaine vont prendre en chasse le géant et son petit ami qu'ils prennent pour les prémices d'une attaque ennemie.

Par le réalisateur des « Indestructibles » et de « Ratatouille », ce petit bijou
d’animation est une merveille d’intelligence et une leçon de tolérance. Dans
le cadre de notre thématique sur les Robots, on peut rapprocher ce film au
« Roi et l’oiseau » de Paul Grimault ou « du Château dans le ciel » de Hayao
Miyazaki. Un robot gentil,mais qui réagit violemment à la vision des armes et
peut développer de vrais pouvoirs de destruction, comme Gort, le robot du
film « Le jour ou la terre s’arrêta » de Robert Wise sortie au cinéma dans les
années 50. On peut aussi rapprocher la figure de ce Robot à ceux des
« Transformers », qui eux aussi viennent d’un autre monde et ne sont pas
construits par la main de l’homme,mais là s’arrête la comparaison. Ce film est
beaucoup plus qu’un film de robot. C'est l'amitié d'un enfant nommé Hogarth
et d'un homme de fer géant qui se nourrit de métal et qui peut être une vraie
machine de guerre entre de mauvaises mains.


ANIMATION MERCREDI 12 A 10H, TARIF UNIQUE DE 3 euros.